2024

L’auteur

 

Pablo Neruda, né le 12 juillet 1904 à Parral, au Chili. Il a obtenu le prix Nobel de littérature en 1971. Il est mort à Santiago du Chili

le 23 septembre 1973, douze jours après le coup d’état militaire qui ren-
versa le gouvernement de Salvador Allende.

 


L’artiste


Ana-Maria Fuensalida est née à Valparaiso, Chili.
Elle a fait des études de peinture et de dessin à l’Ecole de Beaux Arts de Santiago du Chile, et de dessin textile à l’Ecole des Arts Visuels à New York. Elle a aussi fait un apprentissage à l’atelier de Maasaki Saka à New York.
Comme designer textile, elle a travaillé dans l’atelier parisien de Paul Hargittai et avec le groupe de designer « Camaïeu » avant de devenir designer indépendante. Elle a participé à des nombreux salons professionnels à Amsterdam, Frankfurt, Bruxelles, Lille, Milan et Paris. Elle a travaillé pour de grandes marques dans le domaine de la décoration et du linge de maison.

 




Comme une main sur ma tête

 

Haïku

 

Textes et dessins de Ana Maria Fuensalida

 

Le haïku est une forme brève de la poésie et de la calligraphie japonaise, très ancienne et très populaire au Japon encore aujourd’hui, connue en France depuis le japonisme dans la peinture moderne, mais découverte par les poètes occidentaux à partir des années soixante du 20e  siècle.
Même au Japon la modernité l’a libéré de sa forme stricte de 17 syllabes distribuées en trois lignes : 5-7-5 et de sa poétique bouddhiste principalement fondée sur les phénomènes naturels et sociaux des quatre saisons.
Ana Maria Fuensalida, admiratrice du haïku japonais (en traduction) et comme artiste sous l’influence de la peinture chinoise et japonaise depuis toujours, nous fait partager sa vie quotidienne dans le Perche poétiquement et artistiquement, sans prétention, mais dans une simplicité et une beauté qui honorent ses modèles de si loin et ses expériences de si près.

 


Nouvelles d'un front

 

Collection Bô roman

 

Textes de Georges-Olivier Châteaureynaud

 

Dessins et peintures de Hubert Haddad

 

Georges-Olivier Châteaureynaud et Hubert Haddad se connaissent depuis toujours. Ils n’avaient pas vingt ans que, l’un comme l’autre se passionnaient pour la littérature. Les mots, instruments sans pareil au service de la création, scellaient leur rencontre. Parallèlement, les deux jeunes gens ont mené une carrière d’écrivain avec, chacun, une œuvre prolifique où la transformation du monde par l’imagination tient une place centrale.

Ce nouveau Bô Roman des éditions du Contrefort les réunit pour la première fois d’une manière inédite : deux nouvelles de G.-O. Châteaureynaud associées aux œuvres picturales d’Hubert Haddad.

Ce sont toujours les mêmes artistes ; ceux que les amoureux de littérature admirent, mais sous un angle inédit. Les débuts réalistes des nouvelles de Châteaureynaud se déploient dans l’ombrageuse mélancolie des œuvres d’Haddad. Et lorsque vient le moment de se libérer de la pesante réalité, les bleus, les ors et les roses accompagnent l’évasion des héros du Seul mortel et du Clairon du 146e régiment vers un univers transformé où tout est possible.




2021


 Blasons du cheval

  

Textes de Jean-Louis Gouraud

 

Dessins de Jean-Louis Sauvat

 

Genre littéraire en vogue au XVIe siècle, le Blason faisait en général l’apologie du corps (ou d’une partie du corps) de la femme. Le plus célèbre de ces éloges est le Blason du beau tétin de Clément Marot. Moins connu est le poème d’un contemporain, Pierre d’Anché, chantant non plus la beauté féminine, mais la beauté... chevaline.

 

Pour se livrer à un exercice de même nature, deux éminentes personnalités se sont associées : l’artiste Jean-Louis Sauvat et l’écrivain-globe-trotteur Jean-Louis Gouraud. Sauvat célèbre par le dessin, la peinture, la sculpture l’incomparable animal. À ses côtés, Gouraud nous en parle à travers une série de petits textes qui réjouiront tant les initiés que les néophytes. 

  

Les deux hommes se connaissent. Jamais encore ils n’avaient uni leur talent. Il en résulte une œuvre à feuilleter, admirer, lire à petites gorgées car partout la beauté vous arrête. Une œuvre pour apprendre, s’enivrer, rêver encore et toujours à l’étonnant compagnon de nos vies qu’est le cheval.


 

Révolte

 

le nouveau roman

de Claire Veillères

 

L'histoire captivante du soulèvement des campagnes.

 

 

Elle les vit enfin : des chevaux. Géantes bêtes, roulant des épaules et des croupes, au lent balancement de leur tête marmoréenne. Des paturons poilus soulevaient des sabots larges comme des massues qui démultipliaient, en retombant, l’écho de leurs fers. Leila ne quittait plus du regard les dos colossaux dont le vallon central, à peine marqué, débouchait, tout au bout, sur deux bosses jumelles. L’une après l’autre, ces collines fessues actionnaient des pistons de tonnerre. Un champ infini de rondeurs bossuées formait ce moutonnement épais, ces vagues qui venaient se briser sur la place. L’éclairage inégal des devantures posait des croissants de lumière sur le poil de ces reins plus clairs que la nuit. Ils miroitaient un instant avant de glisser au sol, semant des lunes sur leur passage. Les percherons envahissaient la ville.

 


 

Mademoiselle

 

Une nouvelle de Bertrand Maréchaux

 

illustrations de BABU.

 

Mademoiselle Berthe Beunier est fille d'agriculteurs.

Elle vit avec ses trois sœurs dans l'ombre de parents jalousement protecteurs.

À la ferme, on ne fait pas n'importe quoi. On ne vit pas avec n'importe qui.

Alors que les sœurs, encouragées avec fermeté, s'engagent dans le mariage,

Mademoiselle va, en ville, seule, exercer un métier.

Inédite, cette situation lui ouvrira de façon inattendue les portes de la liberté.

Mais est-il si simple de tout bousculer lorsque l'audace de vivre vient si tard ?

 

Le regard tendre, l'œil rigolard, BABU peint ses semblables comme Lautrec, mais aussi les dénonce comme Goya.

 

Saint-Cyr a conduit l'auteur au Tchad dans une équipée équestre, chez les parachutistes zaïrois, à Beyrouth,

puis dans le corps préfectoral, de Bastia à l'Orne…

 


2020

 

Mon arbre

(Une éternité)

 

Une nouvelle de Claire Veillères sur le thème de l'Arbre.

 

Dessins de Bruno Cordilhac.

 

Une belle histoire illustrée pour éclairer votre quotidien…


 

2019

 


Cordilhac, l'artiste nature

 

Un recueil de 22 dessins et aquarelles, imprimés sur papier d'art lisse.

 

 

Tirage limité à 20 exemplaires numérotés de 1 à 20.


FUKUSHIMA NO KAMI, 2017.

 

Poème : Jean-François ROLLIN.

Peintures et gravures : Ysabel MAVIT.

 

Il a été tiré de cet ouvrage 40 exemplaires numérotés de 1 à 40 et 10 exemplaires numérotés de I à X accompagnés d'une gravure d'Ysabel Mavit, sur Arches B.F.K. Rives.


Poème exploratoire des sculptures et dessins de Pierre Tual

 

 Un ouvrage de Peter Nim,

dessins de Pierre Tual,

version allemande

+ version française,

traduction de Jean-François Rollin

Tirage limité à 30 exemplaires

numérotés de 1 à 30, signés par les auteurs